C'est assez horrible d'imaginer qu'on puisse-être comme une viande, un légume à la merci de l'irrespect, oui l'enfer.
Question des pratiques dans la mort, dans un état de mort, je me fais confiance, je fais confiance à mon instinct qui saura ressortir ce dont il a besoin, j'ai pas autre chose pour l'instant.
Je crois que je penserai à quelque chose de beau, un souvenir fort aussi, je crois que je penserai facilement à mon fils.
On dit pour ces personnes qui reviennent à la vie, que la mort ne voulait pas d'eux, c'était pas l'heure. On a encore des choses à accomplir. Moi, c'est pour ça que je ne suis pas prête à mourir dans la seconde qui suit. Et mon fils serait quasiment seul au monde s'il n'a plus non plus son père, tout ça...
Avec une telle souffrance comme cette femme, et de ne pas avoir eu le temps de faire des bonnes choses c'est le plus effrayant, c'est pour ça que j'ai envie de vivre, que je prends soin de ma santé, mais la mort en elle-même, je ne la crains pas vraiment.
C'est sûr que réveillée avec un doux baiser, "une intervention divine" ::mr yellow:: je ne serais pas contre non plus.

Un peu d'amour love2 c'est pas de trop dans des situations pareilles. <<metta>>