Forum Bouddhiste Dhamma

Un homme alla voir un psychothérapeute.
Docteur, lui dit-il, j'ai peur des femmes, et n'ose pas aller vers elles, comment pouvez-vous m'aider ?
Le docteur lui dit : Cela prendra du temps, mais je pense pouvoir le faire.
Je suis prêt à tout répliqua le patient.
Savez-vous, le prévint le médecin, que vous risquez de découvrir des choses dont aujourd'hui, vous ne souhaitez sans doute pas avoir conscience.
Comme quoi ? lui demanda l'homme.
Et bien, je ne sais pas, par exemple, vous pourriez découvrir que vous êtes homosexuel.
Que dites-vous docteur ! Je n'ai jamais aimé les hommes, je ne vois pas comment...
Le psy lui coupa la parole, et lui dit : Qui vous a jamais parlé d'aimer les hommes. shuuuuuuuuuuuuttttt

<<metta>>

J'ai rien compris...
Est-ce que je suis le seul ?

Non, là du coup, c'est moi "le seul"

<<metta>>

Ca s'appelle : faire un bide !
désolé Jules, mais s'il y a une subtilité, elle est trop subtile pour le pékin moyen...

Mais c'est peut être le bide qui fait rire

A moins que l'histoire soit incomplète? A chacun de la compléter...

Peut être c'est un koan? Le mental s'effondre, le vide et l'espace apparaissent à la fin de l'histoire.

La peur des femmes, c'est peut être la peur d'être emporté par le désir ou la passion, la peur de perdre le contrôle.

J'ai vu des homosexuels qui étaient hyper à l'aise avec des femmes, que les femmes considéraient comme un bon copain ou ami. Peut être parce que les uns et les autres étaient surs qu'il n'y avait pas d'arriere pensées dans leur relation?

J'ai vu aussi des homosexuels qui faisaient des plaisanteries hyper salées, ce qui faisait beaucoup rire les femmes et que les femmes adoraient, alors que si cela avait été un hétérosexuel qui avait fait les mêmes plaisanteries, il se serait ramassé une paire de baffes ou des réflexions outrées.

Pas compris non plus.

Il pourrait y avoir un jeu de mots sur le double sens de "homo" : dans "homosexuel", il signifie "même" alors que le patient le comprend apparemment au sens d'"homme".
La source de sa peur serait alors sa misanthropie, sa haine du genre humain, alors que le psy lui annonce simplement la possibilité de se découvrir un particularisme sexuel : d'où la dernière réplique, qui souligne l'ambiguïté de la formule "aimer les hommes".

C'est une explication de cuistre et si la blague repose là-dessus, elle ne m'a pas fait rire. Il doit y avoir autre chose, mais quoi...

En fait, ce n'est pas une blague, pour comprendre, il faut tenir présent ce que pourrait être un homo sexuel qui aimerait le sexe opposé. C'est une histoire de manipulation de miroir.

ted a écrit :Ca s'appelle : faire un bide !
désolé Jules, mais s'il y a une subtilité, elle est trop subtile pour le pékin moyen...

Mais mon Tedychon, tu n'es pas le pékin moyen, fais gaffe, tu ne vas plus trouver de ceinture à ta taille...

Ah, bon : d'accord, si tu le dis.

Si je dis quoi ?