
C’était en apparence un vendredi comme tous les autres pour le sangha. Le Bouddha était dans sa 37ème année et avait déjà de nombreux disciples.
Pourtant on pouvait sentir dans l’air une énergie inhabituelle, comme un frémissement difficile à définir, peut être lié au relâchement des activités alors que le crépuscule arrivait, ou bien à la pleine lune...
Un chien se mit à hurler, deux moines échangèrent un regard un peu inquiet ; c’est vrai que d’étranges histoires étaient parvenues aux oreilles de la communauté ces derniers temps...
