Il n'y a rien en ce monde, que vent, vide et poussières
Des espoirs, des secondes, sombrant dans nos chimères
Hier n'est déjà plus, demain une illusion
Mais le présent n'est vu que par un sur légions
Il ne restera rien, de ces mondes agités
De ces vies au lointain, passant sans s'arreter
Des querelles et souffrances, des plaisirs et douleurs
D'amérique ou de France, d'asie ou bien d'ailleurs
Planète insignifiante, flottant sur nuits glaciales
Sous une étoile brillante, d'une galaxie banale
Dans un vaste univers, sans limites connues
Un abysse à l'envers, un éclair disparu