Transports... En commun ?
Publié : 11 décembre 2012, 21:35
Hier dans le tramway (2° fois seulement que je l'emprunte, c'est tout neuf, chez moi)
des étudiants, une foule d'étudiants... Déjà, ma première sensation, c'est l'écoeurement. Ca pue le tabac froid, cette foule qui bourdonne et qui compare les notes de cours et les brouillons d'examens. Je cherche une place assise. Pas facile, ils sont vifs, ils sont rapides et en plus certains ont des gros sacs. J'en trouve une, finalement à côté d'un jeune qui joue avec son portable.
Deux arrêts plus loin, un couple âgé monte. Je me lève. Le monsieur manque de tomber au moment où le tram repart. Il a manqué s'écraser sur sa femme. Il vient s'asseoir. Elle a l'air épuisée, mais aucun étudiant ne se lève, ni ne se lèvera.
En voyant approcher mon arrêt, je me rapproche de la porte. La foule s'est éclaircie, mais il n'y a toujours pas de places assise. Il s'en est bien libérée une, à un moment, mais elle a immédiatement été reprise. La vieille dame est toujours debout, cramponnée à sa barre.
Faudrait-il rendre obligatoire le fait de céder sa place dans les transports en commun pour enseigner aux jeunes l'empathie et le savoir-vivre ?
des étudiants, une foule d'étudiants... Déjà, ma première sensation, c'est l'écoeurement. Ca pue le tabac froid, cette foule qui bourdonne et qui compare les notes de cours et les brouillons d'examens. Je cherche une place assise. Pas facile, ils sont vifs, ils sont rapides et en plus certains ont des gros sacs. J'en trouve une, finalement à côté d'un jeune qui joue avec son portable.
Deux arrêts plus loin, un couple âgé monte. Je me lève. Le monsieur manque de tomber au moment où le tram repart. Il a manqué s'écraser sur sa femme. Il vient s'asseoir. Elle a l'air épuisée, mais aucun étudiant ne se lève, ni ne se lèvera.
En voyant approcher mon arrêt, je me rapproche de la porte. La foule s'est éclaircie, mais il n'y a toujours pas de places assise. Il s'en est bien libérée une, à un moment, mais elle a immédiatement été reprise. La vieille dame est toujours debout, cramponnée à sa barre.
