Phénix
Publié : 14 mars 2012, 14:34
L’immense oiseau de feu sait le secret des choses
Qui se suivent au gré des reflets de son oeil
Et peut donc se mêler aux nuées de flamants roses
Dont le vol silencieux s’ouvre au ciel sans orgueil.
Ils irisent la voûte profonde et turquoise
En un ballet céleste, et tous à l’unisson,
Tirent d’assez longs traits aux couleurs de framboise
Pour peindre un dégradé sur l’or de l’horizon...
L’immense oiseau de feu peut, dans l’imaginaire,
Se couvrir de beauté, en tous temps, en tous lieux,
Et quand il fait la roue, masquant l’astre solaire,
C’est pour enfin montrer qu’il surpasse les dieux.


Qui se suivent au gré des reflets de son oeil
Et peut donc se mêler aux nuées de flamants roses
Dont le vol silencieux s’ouvre au ciel sans orgueil.
Ils irisent la voûte profonde et turquoise
En un ballet céleste, et tous à l’unisson,
Tirent d’assez longs traits aux couleurs de framboise
Pour peindre un dégradé sur l’or de l’horizon...
L’immense oiseau de feu peut, dans l’imaginaire,
Se couvrir de beauté, en tous temps, en tous lieux,
Et quand il fait la roue, masquant l’astre solaire,
C’est pour enfin montrer qu’il surpasse les dieux.

