ardjopa,ardjopa a écrit :
Tu n'as à mon sens pas besoin d'attendre "plus tard", la pratique de la méditation,
Tu te dis plus en "état de méditer" pour l'instant, mais le méditant ou celui qui aspire à pratiquer zazen existe-t-il vraiment ?
Même l'alcool n'est ni bon ni mauvais : vacuité, tout dépend ce que l'égo en fait
Chaque instant est un bon moment pour revenir à soi, observer et prendre conscience de la réalité,
que ce soit assis en tailleur, en zazen, en marchant, faisant ses courses, rêvant ou autre;
Je suis mal placé pour te conseiller quoique ce soit niveau pratique formelle et officielle, vu que j'aime la méditation sauvage et la solitude, seul ou entouré![]()
En tous cas, bonne chance pour la suite et le présent
merci pour ton mot de bienvenue,
tu me fais rire,( et c'est positivement que le dis)... faire zazen à jeun, sobre, déjà c'est pas toujours facile. Alors avec 4 grammes d'alcoolémie... t'imagines? L'alcool n'est ni bon ni mauvais...mais il tue... Soit! Est ce que tu me passerais les clés de ta bagnole après que j'ai bu une bouteille et demi de vodka ( ma consommation en rythme de croisière) hum...! pas sur! A mon humble avis la seule vacuité que je risque de rencontrer c'est le cercueil... (rire).
Sinon oui, je ne suis plus en état de méditer, ni de conduire, ni même de faire l'amour pour être trivial. Mais en effet, le méditant ou celui qui aspire à reprendre zazen existe ...mais comme tu le sais surement et probablement mieux ou autant que moi, Le problème principal est que la spiritualité est une superstructure, elle ne vient qu’en dernier et coiffe l’ensemble de la personne humaine, par conséquent tout se transpose en elle. En particulier tous les défauts et les problèmes psychologiques (psychanalytiques, psychopathologiques et psychiatriques) vont se transposer tels quels dans sa vie spirituelle et mener à prendre un chemin qui aille dans le sens de ses défauts et permette de ne pas changer. C'est comme çà que j'ai trouvé dans le zen une justification à ma consommation d'alcool... CQFD.. Donc me soigner d'abord. et zazen après.
in schin den schin
