Pour ceux et celles qui ne sauraient qui est William Burroughs, c'est un des membres principaux de la Beat Generation, certaines personnes le considérent comme le diable et il a eu affaire pluisieurs fois avec la justice et le FBI. Il était homosexuel, drogué, paranoiaque, fou des armes (couteaux, matraques, armes à feu). Il a même tué sa femme en voulant jouer avec un revolver à Guillaume Tell alors qu'il était sous l'influences de drogues. Son fils s'est suicidé, etc, etc.
Mais il est considéré comme un des grands écrivains du 20 ème siecle.
Il a influencé Bob Dylan et de nombreux groupes, chanteurs, compositeurs du rock.
Le lien avec le Bouddhisme?: Il a rencontré Choghyam Trungpa et a été intervenant au Naropa Institute dans des séminaires consacrés à la créativité littéraire.
Les derniers mots qu'il a écrits :
“There is no final enough of wisdom, experience- any fucking thing. No Holy Grail, No Final Satori, no solution. Just conflict.
Only thing that can resolve conflict is love, like I felt for Fletch and Ruski, Spooner, and Calico. Pure love. What I feel for my cats past and present.
Love? What is it?
Most natural painkiller what there is.
LOVE.”
Hommage à ses chats qui lui ont fait découvrir l'importance essentielle de l'amour.
Tout est bien qui finit bien, mais c'est triste que cette prise de conscience se soit faite sur son lit de mort.