La crise
La Grece c est pas la crise ... C est la gestion désastreuse des oligarques grec y à quand même une sacrée nuance! elle est ou la crise en France? simple transfert de richesse je vous dit mais ça arrange bien de brandir le spectre de la crise ...
Parce qu'il n'y a pas d'oligarques en France??
La crise est avant tout la crise de la peur.
repli égocentrique, peur de perdre, peur de l'autre.
Faudra accepter de traverser tout ça pour en sortir.

La crise est avant tout la crise de la peur.
repli égocentrique, peur de perdre, peur de l'autre.
Faudra accepter de traverser tout ça pour en sortir.
Dans mon quartier, des commerces ont fermé... Des voisins ont perdu leur boulot... Les subventions de la municipalité pour les activités des gamins ont été supprimées cette année... Le prix des fruits et légumes a explosé... Les banques ne prêtent plus qu'avec d'énormes garanties... Les distributeurs de billets sont étrangement vides... Les gamins ont les mêmes cartables que l'année dernière... Les ventes de voiture ont chuté......... Les gens font de plus en plus la gueule dans la rue... Les grands projets informatiques des grands comptes sont gelés... Les salaires stagnent... Les entreprises n'ont plus de cash... On voit des clochards là où il n'y en avait pas avant...Lupka a écrit : elle est ou la crise en France?
Si tu le dis ted! on vis pas au même endroit et surtout on à pas la même vision du mot crise ... Bon courage avec vos angoisses et vos conditionnements 

Eh ben...Dans mon quartier, des commerces ont fermé... Des voisins ont perdu leur boulot... Les subventions de la municipalité pour les activités des gamins ont été supprimées cette année... Le prix des fruits et légumes a explosé... Les banques ne prêtent plus qu'avec d'énormes garanties... Les distributeurs de billets sont étrangement vides... Les gamins ont les mêmes cartables que l'année dernière... Les ventes de voiture ont chuté......... Les gens font de plus en plus la gueule dans la rue... Les grands projets informatiques des grands comptes sont gelés... Les salaires stagnent... Les entreprises n'ont plus de cash... On voit des clochards là où il n'y en avait pas avant...
C'est la fête !
Enfin c'est une occasion d'alternative au capitalisme et à la "soit disant crise économique"

Je suis pas sûr que les gens qui bossent en usine acceptent facilement ce genre de déclarations.Lupka a écrit :Si tu le dis ted! on vis pas au même endroit et surtout on à pas la même vision du mot crise ... Bon courage avec vos angoisses et vos conditionnements
Quand on a la chance de ne pas être conditionné de cette façon, c'est plus facile à dire.
Mais changer le paradigme d'un prolétaire, c'est pas évident. Et même si chacun est responsable de lui-même, je pense qu'on ne peut pas en vouloir aux gens de ne pas avoir la conscience de ne pas changer de point de vue, car certains ont des difficultés réelles et profondes.
Ici, à la campagne, peu de changements.
Mais juste que les choses ne vont pas progresser là où elles auraient pu.
Par contre, mes frais bancaires ont plus qu'explosés : on voit là où les banques se rémunèrent. Mais je ne suis guère surpris d'apprendre que la BNP (ma banque) ,est plus que fortement exposée aux obligations européennes. Mais j'ouvre un livret à la NEF : au moins ce qu'on y verse sert à créer du crédit à échelle locale et humaine, et pas à partir sur les marchés financiers. La révolution, c'est comme ça qu'il faut la faire, à mon avis : en choisissant sa consommation, et non en la subissant.
http://www.mondomix.com/events/le-mix-m ... siecle.htm
C'est vrai que parfois, en induisant la restriction, le manque, ou la peur on peut pousser les gens à consommer mais ce n'est pas toujours le cas et ça profite à quelques uns pas tous. Il ne faut pas paniquer et il ne faut pas non plus minimiser "la crise" ou se plonger dans le déni, " crise" qui à notre époque se télescope avec une situation écologique de la planète. Un tournant du monde ? Il faut bien prendre le virage.
Le désir à sa part dans tout ça...
Nous changeons, l'égo change, disparaît et réapparaît et avec nous, nos désirs changent. Impermanence, insatisfaction. Manque ou toujours plus. Illusions, désillusions. Renoncement. Lâcher-prise... L'attachement de l'égo abandonné, les désirs liés à cet égo abandonnés, cela se fait en acceptant l'impermanence de l'égo, des choses, de tout. A longue la diminution de l'égoïsme, l'oubli de soi, le coeur ouvert... qui sait...
Alors il y a de quoi faire avec la vie de tous les jours !
C'est vrai que parfois, en induisant la restriction, le manque, ou la peur on peut pousser les gens à consommer mais ce n'est pas toujours le cas et ça profite à quelques uns pas tous. Il ne faut pas paniquer et il ne faut pas non plus minimiser "la crise" ou se plonger dans le déni, " crise" qui à notre époque se télescope avec une situation écologique de la planète. Un tournant du monde ? Il faut bien prendre le virage.
Le désir à sa part dans tout ça...
Nous changeons, l'égo change, disparaît et réapparaît et avec nous, nos désirs changent. Impermanence, insatisfaction. Manque ou toujours plus. Illusions, désillusions. Renoncement. Lâcher-prise... L'attachement de l'égo abandonné, les désirs liés à cet égo abandonnés, cela se fait en acceptant l'impermanence de l'égo, des choses, de tout. A longue la diminution de l'égoïsme, l'oubli de soi, le coeur ouvert... qui sait...
Alors il y a de quoi faire avec la vie de tous les jours !
Oui, c'est un lent domino, qui se poursuit inexorablement. Le fait que les "indignés" soient devenus un mouvement mondial est aussi un signe qui ne trompe pas.