Forum Bouddhiste Dhamma

Je suis un chat, errant sur terre
Comme un pacha, loup solitaire
Habile et méfiant des humains
Je me faufile, sur mon chemin

Je ne vais vers leurs villes et messes
Que pour compléter ma pitance
En échange de quelques caresses
Puis reprends mon indépendance

Je ne me laisse approcher
Que par ceux-là qui en sont dignes
Car sans prix est ma liberté
Mes pas sont mes seules insignes

La nature est mon vrai miroir
Sauvage et jamais saisie
Seule la mort fera échoir
La voie du chat, vent dans la nuit

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Chat "patte-paille"

Plusieurs foi quand je fais ma scéance de yoga, j'ai remarqué que (mes préférés) ma chienne Sissi, mon chien Tipoune ou ma chatte Mani s'étiraient. De me voir m'étirer ça leur donnait envie de s'étirer. Un peu le mécanisme du baillement qui est contagieux.

Quand mes chiens ou chats voient que je mets en posture de méditation, le chat monte sur mes cuisses, le chien se couche à côté de moi. Ils savent que je ne vais pas bouger pendant un moment et qu'ils n'ont plus à me guetter pour me suivre.

Pour le chat, c'est surtout l'hiver. L'être humain quand il est immobile peut servir de radiateur. C'est d'ailleurs une des raisons principales de l'existence des êtres humains sur terre. Sinon à quoi serviraient-ils?

ted a écrit :

love_3 <<metta>>

Attention !

La perméthrine n'est pas tolérée chez le chat, ; elle provoque des symptômes type convulsion, hyperesthésie, hyperthermie, hypersalivation, pertes d'équilibre… Ces symptômes sont réversibles à condition d'être traités à temps, sans quoi l'empoisonnement peut être fatal. Cette intolérance est due à un défaut en glucuronosyltransférase, une enzyme de détoxification commune chez les autres mammifères (ce défaut rend également le chat intolérant au paracétamol et à de nombreuses huiles essentielles). L'utilisation d'antiparasitaires externes à base de perméthrine est donc formellement contre-indiquée chez le chat

Le chat miaule et poursuit des fantômes…lorsqu'il passe devant sa gamelle il s'y arrête un instant comme une feuille ballotée par le vent, quand la porte est fermée il veut sortir et quand il est dehors il souhaite rentrer. A moins qu'une odeur passe par là et lui prenne le museau.
Parfois il s'endort avec le regard béat d'un nouveau né remplit de lait et part dans les étoiles.
D'autre fois, il exécute une frénésie de toilette: si le chien est à côté, il le lèche comme si c'était une prolongation de son propre corps.
Le chat ne découpe pas les choses, ce sont les choses qui le découpent à la vitesse d'un éclair.
Alors au milieu, il danse.