Katly a écrit :Euh, j'fais c'que j'peux.

Katly a écrit :Euh, j'fais c'que j'peux.
Xily44 a écrit :Katly,
Ta façon de voir les choses est éclairante. Il en faudrait plus des témoignages comme celui-ci. Aller de l'avant, savoir que l'on ne connaît pas toute l'histoire, la nôtre et où l'on se situe dans celle-ci, comme tu le dis si bien ici :
J'ajoute que dans notre histoire nous n'avons pas le recul nécessaire dans les moments difficiles, je parle d'un recul du temps. " Chance ou malchance, qui peut le dire ? " Alors on continue, curiosité de la vie et foi en la vie. On ne voit pas le haut de l'escalier mais on grimpe tout de même, marche par marche, c'est ça la foi, selon Martin Luther King - tiens je vais la mettre en citation !Il y a même des fois où en plein dedans, je me suis dis que si ça se trouve c'est le meilleur de ma vie.
Inspire-nous encore ! flower_333
<<metta>>Être tranquille au milieu de tout ce qui peut ou ne pas arriver. Personne n'est à l'abri de rien. Malgré qu'il y est toujours pire souffrance, notre souffrance est la nôtre à ce moment.
Est-ce qu'on n'a pas le même genre d'interrogations face à la vieillesse ? Quand notre corps va nous lacher, petit à petit ?Erratum a écrit :Comment se peut il que mon corps aille mal quand moi je me sens bien ? Comment aimer ce corps qui me trahit d'une certaine façon ? Comment ne pas laisser ce corps de côté... ou pourquoi l'ai je laissé de côté ?
Au cours de ces journées de convalescence, j’ai fait beaucoup d’introspection, de méditation, je me suis recentrée et là encore, j’ai fait confiance, me fiant à mon intuition pour retrouver mon énergie et ma santé. (Johanne)
En 2001, j’ai reçu un diagnostic de cancer du sein métastasé, le pronostic sans traitements était bouleversant: 6 mois, un an à vivre… Un coup de masse à 48 ans, alors que j’étais en pleine santé.
D’emblée et intuitivement, je cherche à comprendre ce qui a pu me mener là.
En plus des traitements de médecine classique, chimio lourde et radiothérapie, je fais un grand ménage intérieur ; et ça fonctionne ! Après 2 traitements de chimio seulement, la masse de la grosseur d’une balle de golf et les métastases au ganglion lymphatique disparaissent ! L’oncologue ravi mais incrédule… me demande «Mais qu’avez-vous fait madame ?» Je médite Docteur ! (Johanne)
J’étais persuadée, déjà il y a 10 ans, que l’esprit jouait un rôle dans la guérison. Je me suis donc créé des outils de méditation, de visualisation, j’ai fait de la psychothérapie, j’ai analysé mes rêves, j’ai «boosté» mon système immunitaire, mais avant tout, j’ai choisi de transformer ma vie. Pour moi, le cancer a été une prise de conscience que j’étais restée trop longtemps figée dans le deuil de mon mari, lui-même décédé d’un cancer en 1995. Vous savez, lorsqu’il n’y a plus de joie, le système immunitaire s’affaiblit. J’ai toujours affirmé que j’ai vécu une guérison à trois niveaux : corps-âme-esprit. (Johanne)
La méditation a joué un rôle très important dans ma guérison d’un cancer du sein métastasé, il y a dix ans. C’est devenu pour moi, une pratique courante pour retrouver ma paix intérieure et élargir ma conscience. (Johanne)