Sous ses airs de pinson, qui mange du riz blanc
Erudit ou guindée, rêvant des bohémiens
Je l'aime bien Flocon ! qui rougit en tous temps
Dans ses mots cultivés, chinois, grecs ou latins
Il est vrai que je suis un vagabond des airs
Qui ne regarde pas à la virgule près
Les phrases que j'envoie en fumeux libertaire
N'ont pas le tact sérieux des gens "bien éduqués"
Mais tel les fous apaches, chevauchant l'herbe tendre
Je vais suivant mon cœur, plutôt que ma raison
Et je clame haut et fort, aux sourds qui peuvent entendre
Que la sagesse est libre comme vent d'horizon
pensées pour flocon
C'est gentil, merci. 

Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Elle passe dans les rues de leurs villes en déroute
Habillée du costume de sociabilité
Je trace en routard sur le bord de la route
Dans mon chèche brulé par la pluie et l'été
Elle continue sa vie aux horaires réglés
De la maison aux courses, travail, enfants, mari
Quand j'hume l'air bleu pur sans voir le temps passer
Entre mon sac, les arts, la nature infinie
Elle gagne son argent en suivant la cadence
Part parfois en vacances aux congés prépayés
Mon trésor est la vie et poursuivre sa danse
Et l'amour un rivage au nom de liberté
Habillée du costume de sociabilité
Je trace en routard sur le bord de la route
Dans mon chèche brulé par la pluie et l'été
Elle continue sa vie aux horaires réglés
De la maison aux courses, travail, enfants, mari
Quand j'hume l'air bleu pur sans voir le temps passer
Entre mon sac, les arts, la nature infinie
Elle gagne son argent en suivant la cadence
Part parfois en vacances aux congés prépayés
Mon trésor est la vie et poursuivre sa danse
Et l'amour un rivage au nom de liberté
La poussière ne s'intalle que chez les gens qui ont des meubles, au lieu d'avoir des sacs à dos
Et le ciel reste toujours propre et clair, malgrè les nuages, car ils ne font que passer
Et le ciel reste toujours propre et clair, malgrè les nuages, car ils ne font que passer

Que notre esprit soit donc comme un nuage en forme de sac à dos, qui se dissoudrait dans le ciel. love_3onmyway a écrit :La poussière ne s'intalle que chez les gens qui ont des meubles, au lieu d'avoir des sacs à dos
Et le ciel reste toujours propre et clair, malgrè les nuages, car ils ne font que passer
<<metta>>