Quand J'inspire, les larmes sortent de mes yeux
Quand j'expire, les sanglots sortent de ma bouche
Quand je mesure l'étendue
de la souffrance du monde.
Un peu de poésie...
- michel_paix
- Messages : 1188
- Inscription : 09 novembre 2008, 21:58
La renaissance du désir
qui ne cesse de ce perpétue sans fin,
ne trouvant jamais une réelle satisfaction,
du l'impermanence des phénomènes composés.
Vivant dans ce regard qui est notre,
basé sur le plaisir et la souffrance,
le monde ne devient qu'une idée,
de ce qu'on aimerais qu'il soit.
La voie qui mène a la fin,
de toute cette misère,
vers une libération de ces chaines.
Ne cherchant plus a être ni ceci, ni cela,
reposant simplement
dans ce qui est naturel.
Ainsi la renaissance du désir prend fin
ainsi que toute l'insatisfaction
qui lui est lié.
<<metta>>
qui ne cesse de ce perpétue sans fin,
ne trouvant jamais une réelle satisfaction,
du l'impermanence des phénomènes composés.
Vivant dans ce regard qui est notre,
basé sur le plaisir et la souffrance,
le monde ne devient qu'une idée,
de ce qu'on aimerais qu'il soit.
La voie qui mène a la fin,
de toute cette misère,
vers une libération de ces chaines.
Ne cherchant plus a être ni ceci, ni cela,
reposant simplement
dans ce qui est naturel.
Ainsi la renaissance du désir prend fin
ainsi que toute l'insatisfaction
qui lui est lié.
<<metta>>
:)
L'étoile du matin
au coin de ma fenêtre bleue
Derrière le paravent des arbres silencieux
les phares d'une seule voiture, passe
au coin de ma fenêtre bleue
Derrière le paravent des arbres silencieux
les phares d'une seule voiture, passe
Eveil d'un Bouddha
regardant la vérité nue,
en face
droit dans les yeux
je n'ai pas mis mes lunettes.
regardant la vérité nue,
en face
droit dans les yeux
je n'ai pas mis mes lunettes.