Comprends qu'on peut parler à ce sujet d'un état, d'un état qui n'en est pas un, d'un non état ou d'un état vert ou bleu, cela n'est pas ce qui compte. Ce qui est important c'est comment arriver à cet état, au Dzogchen. Ainsi, ce n'est pas la description de cet état qui nous intéresse qui peut effectivement être vert ou bleu ou être posé sur une table. Cela ne sert à rien d'expliquer le goût de l'eau, l'important est d'y conduire l'assoiffé.ted a écrit :Non. C'est autre chose. Je crois que c'est très proche de l'état dit "naturel" du Dzogchen. C'est sans doute la même chose ?
En tout cas, l'état naturel du Dzogchen N'EST PAS un état.
Quelque soit la voie bouddhiste qu'on emprunte, on retombe sur ce truc insaisissable...
Le problème de ta réaction quant à ma proposition (pas UN état de conscience mais peut-être DEUX), c'est que tu prends cette réaction pour une description de ce fameux état. Je te propose de l'envisager comme une pratique pour parvenir à cet état. De ce fait, engage toi un instant à pratiquer les DEUX états, et dis moi ce qu'il en est.