Je pensais au remède que le Bouddha a découvert sur lui-même et qu'il a offert aux autres. Un chemin a faire, une pratique de la méditation, "un travail sur soi, son esprit". La présence d'un bouddha illumine et guérit autour de lui sans doute.ted a écrit :Mais est-ce bien vrai justement ?Katly a écrit :Pas de "baguette magique" à offrir.
( Libération de l'esprit par soi-même, travail sur soi, soin de son propre esprit... )
Puisque le XIIème Gyalwang Drukpa semble dire (mais j'ai sans doute mal compris la citation ou son contexte) que ce type de pensée est égoïste, structurellement, puisque née de l'ignorance fondamentale.
Est-ce que les Bouddhas n'auraient pas un pouvoir beaucoup plus grand que celui qu'on veut bien leur donner ?
Par exemple, qu'est ce que la transmission ?
Ce n'est pas un effort que nous produisons par nous-mêmes. C'est bien "quelque chose" que nous passe un être éveillé. Un maître éveillé.
La guérison, l'amour sont "contagieux".
Des guides, des rencontres peuvent nous aider et parfois quand notre flambeau vacillait ou dans la nuit une main tendue.
Mais il y a des étapes psychologiques, abandonner des intérêts, des états d'esprits malsains pour être ouvert et prêt à recevoir l'aide qui se présente. Dans certains cas une aide autre complémentaire médicale ou la psychothérapie sont nécessaire.
Mais il y a d'autres personnes qui ont fait cette démarche, s'étant déjà auto-guérit, sont plus facilement réceptive et développent vite leur esprit, une résilience, une guérison pour s'éveiller, se libérer. On un naturel plus ouvert déjà... Le contact avec un être lui-même "guérit", calme, patient, dans la bonté, la bienveillance, va donner et renforcer de bonnes conditions, inspirer leur "nature de bouddha".