Période ascétique extrême du Bouddha
Publié : 14 mars 2013, 21:58
viewtopic.php?f=61&t=7429&p=26342#p26342
Je permets de répondre ici à un post de ted dans un autre fil pour ne pas être hors sujet, et sans souhaité en faire un sujet, juste répondre, comme j'ai eu des questionnements moi-même à ce sujet.
Il est naturel que Siddhartha Gautama ait commencé par ces pratiques, car pour chercher la sagesse, c'est ainsi qu'on s'y prenait d'ordinaire dans son pays natal, à son époque. En Inde, il y avait principalement l'Hindouisme et le Jaïnisme. Ce n'était pas un test, c'était une démarche conventionnelle à suivre. Il ne savait encore rien de la voie qui allait être la sienne propre, jusqu'à son éveil et lorsqu'il fût nommé Bouddha par son éveil, ce qui devint ensuite le bouddhisme.
Ce n'était pas volontaire de se tuer, un test d'aller jusqu'à la mort, c'était l'aboutissement inéluctable de ces pratiques.
En réfléchissant, il y a une chose que je me dis toujours en pensant à cette période ascétique du Bouddha, c'est "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme", car c'est à partir de ces pratiques abandonnées que le Bouddha a fait sa propre voie.
Il s'est plongé dans les racines de sa religion maternelle, en a abandonné les pratiques, puis suivant sa propre voie, il s'est produit une transformation.
Il y a eu l'abandon, une mort de quelque chose à travers cela, puis la naissance d'autre chose.
Je pense qu'on comprends à quoi ont servi ces pratiques ce qu'il en a retirer et ce que lui a découvert. Le bouddhisme n'est pas né de rien.
J'espère ne froisser personne dans mon propos, ce ne sont que pensées et questionnements.
Je permets de répondre ici à un post de ted dans un autre fil pour ne pas être hors sujet, et sans souhaité en faire un sujet, juste répondre, comme j'ai eu des questionnements moi-même à ce sujet.
Il est naturel que Siddhartha Gautama ait commencé par ces pratiques, car pour chercher la sagesse, c'est ainsi qu'on s'y prenait d'ordinaire dans son pays natal, à son époque. En Inde, il y avait principalement l'Hindouisme et le Jaïnisme. Ce n'était pas un test, c'était une démarche conventionnelle à suivre. Il ne savait encore rien de la voie qui allait être la sienne propre, jusqu'à son éveil et lorsqu'il fût nommé Bouddha par son éveil, ce qui devint ensuite le bouddhisme.
Ce n'était pas volontaire de se tuer, un test d'aller jusqu'à la mort, c'était l'aboutissement inéluctable de ces pratiques.
En réfléchissant, il y a une chose que je me dis toujours en pensant à cette période ascétique du Bouddha, c'est "Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme", car c'est à partir de ces pratiques abandonnées que le Bouddha a fait sa propre voie.
Il s'est plongé dans les racines de sa religion maternelle, en a abandonné les pratiques, puis suivant sa propre voie, il s'est produit une transformation.
Il y a eu l'abandon, une mort de quelque chose à travers cela, puis la naissance d'autre chose.
Je pense qu'on comprends à quoi ont servi ces pratiques ce qu'il en a retirer et ce que lui a découvert. Le bouddhisme n'est pas né de rien.
J'espère ne froisser personne dans mon propos, ce ne sont que pensées et questionnements.