
Vous en concluez quoi ?

Belle illustration, ce poème, Flocon.Flocon a écrit :Ce qui est traduit par "petit bol" s'écrit littéralement en japonais "enfant-bol", et les poèmes jouent avec cette ambiguïté. On sait que Ryôkan souffrait cruellement d'être sans famille, et il se moque un peu lui-même, avec tendresse, de sa tendance à l'attachement qui faute d'autre objet, s'était portée sur un bol.
FA a écrit :Tôt ou tard nous serons amenés à nous détacher de toutes nos terrestres possessions...![]()
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Voilà. Cette puissante envie de posséder ne s'arrête pas à la mort...Longchen a écrit :Quoique l'on possède, quelque soient nos attachements, au moment de la mort, il faudra tout lâcher, on ne nous demandera pas notre avis ! Mais le karma n'est pas perdu, il nous attend dans la (les) vie(s) suivante(s), pourvu qu'il n'y ait que de bonnes surprises<<metta>>