Pensée/non-pensée. Les deux mon capitaine?
Publié : 30 septembre 2012, 11:49
C'est vrai que ce post est perfectible, mais je fais juste un copié/collé brut de pomme. (Oups! : Brut de coffrage!) ba16
Il me semble que s'attacher ou fuir la conception sont une erreur mais par contre utiliser, se servir de la conception d'une manière adéquate est correct.
On peut utiliser l'outil intellect dans des méditations analytiques qui débouchent ensuite sur une image générique de la vacuité ensuite cette image est utilisée comme objet de méditation pour finir par se dissoudre dans la conscience.
Au quotidien, pour naviguer dans la vie intellect et intuition sont des outils indispensables.
Il s'agit d'avoir ni arrachement ni répulsion vis à vis des états de conscience de pensée ou de non-pensée. Dans la vie il y a des moments de réflexion et des moments de contemplation.
Un chemin pourrait être :
Dans un premier temps, on commence à se défaire de l'attachement aux pensées, habitude due à l'ignorance, à la programmation de l'éducation. On apprend à contrôler attitudes mentales, émotions, imaginations et pensées. Donc l'accent est mis sur la non-pensée jusqu'à ce que les habitudes de se connecter à la pensée et à la non-pensée soient équilibrées.
Dans un deuxième temps (Avec le temps) on alterne les moments de pensées et non pensées en fonction des circonstances. Cela représente déjà pas mal de travail sur soi accompli. Le mental ne travaille pas plus que nécessaire.
Et les méditants doués dans un 3eme temps n'ont plus d'attachement à la pensée et à la non-pensée et sont dans un état permanent de conscience qui leur permet de voir les pensées surgissant de la non-pensée.
L'erreur est de discuter des vues du premier stade avec quelqu'un qui parle lui des vues du second ou du 3eme stade.
Au 3eme stade tout va bien, tout est parfait, tout est complet. Mais il me semble que même un "pratiquant" (qui est au delà de la pratique) du 3eme stade aura eu à passer par les deux premiers stades. Mais comme il existe de grands musiciens qui ont le talent de musicien et qui n'ont pas fait de conservatoire de musique, il doit exister des grands réalisés qui avaient (ont) le talent suffisant pour réaliser naturellement, directement le 3eme stade.
On peut rapprocher cela de l'utilisation de l'intuition et de l'intellect.
Le Dalai Lama quand il avait à résoudre des problèmes liés à sa foction de chef d'état en exil, faisait appel à son conseil des ministres (L'intellect) et ensuite faisait appel au Devin d'état qui se mettait en transe et lui donnnait une réponse (Intuition). Ensuite il analysait ces différentes données et prenait sa décision.
Il me semble que s'attacher ou fuir la conception sont une erreur mais par contre utiliser, se servir de la conception d'une manière adéquate est correct.
On peut utiliser l'outil intellect dans des méditations analytiques qui débouchent ensuite sur une image générique de la vacuité ensuite cette image est utilisée comme objet de méditation pour finir par se dissoudre dans la conscience.
Au quotidien, pour naviguer dans la vie intellect et intuition sont des outils indispensables.
Il s'agit d'avoir ni arrachement ni répulsion vis à vis des états de conscience de pensée ou de non-pensée. Dans la vie il y a des moments de réflexion et des moments de contemplation.
Un chemin pourrait être :
Dans un premier temps, on commence à se défaire de l'attachement aux pensées, habitude due à l'ignorance, à la programmation de l'éducation. On apprend à contrôler attitudes mentales, émotions, imaginations et pensées. Donc l'accent est mis sur la non-pensée jusqu'à ce que les habitudes de se connecter à la pensée et à la non-pensée soient équilibrées.
Dans un deuxième temps (Avec le temps) on alterne les moments de pensées et non pensées en fonction des circonstances. Cela représente déjà pas mal de travail sur soi accompli. Le mental ne travaille pas plus que nécessaire.
Et les méditants doués dans un 3eme temps n'ont plus d'attachement à la pensée et à la non-pensée et sont dans un état permanent de conscience qui leur permet de voir les pensées surgissant de la non-pensée.
L'erreur est de discuter des vues du premier stade avec quelqu'un qui parle lui des vues du second ou du 3eme stade.
Au 3eme stade tout va bien, tout est parfait, tout est complet. Mais il me semble que même un "pratiquant" (qui est au delà de la pratique) du 3eme stade aura eu à passer par les deux premiers stades. Mais comme il existe de grands musiciens qui ont le talent de musicien et qui n'ont pas fait de conservatoire de musique, il doit exister des grands réalisés qui avaient (ont) le talent suffisant pour réaliser naturellement, directement le 3eme stade.
On peut rapprocher cela de l'utilisation de l'intuition et de l'intellect.
Le Dalai Lama quand il avait à résoudre des problèmes liés à sa foction de chef d'état en exil, faisait appel à son conseil des ministres (L'intellect) et ensuite faisait appel au Devin d'état qui se mettait en transe et lui donnnait une réponse (Intuition). Ensuite il analysait ces différentes données et prenait sa décision.