L'éveil

Lupka

ardjopa a écrit :
Mais je t'en prie mon petit Ted décris nous avec des mots simples mais exactitude et précision ce qu'est le nibanna
Nibanna, c'est ce qu'il reste quand on a enlevé tous les mots (et / maux ) ;-)
Ouais ::mr yellow:: c'est très rhétorique ca hein loveeeee ca me dit pas ce qu'est nibanna ...

STP Ardjopa "Fais un effort pour trouver les mots juste" ::mr yellow::

Bon si je reprends les termes de Dhamma sami:
nibanna = cessation des agregats, des phénomènes sans que celà soit le néant
source: http://www.dhammadana.org/dhamma/nibbana.htm

Ca te va comme ca Ted ? loveeeee
ardjopa

Définir ce qu'est un morceau de sucre, ne t'aidera pas beaucoup à connaitre son gout en réalité

:lol:
Lupka

ardjopa a écrit :Définir ce qu'est un morceau de sucre, ne t'aidera pas beaucoup à connaitre son gout en réalité

:lol:
Mais je dis pas le contraire mon ami ... je réponds à la remarque de Ted :mrgreen: :mrgreen:
chakyam

Re: L'éveil
de Dharmadhatu » 12 Juil 2012, 14:10
Chakyam a écrit:Une « inférence logique » est le produit d'un raisonnement conclusif au terme d'une comparaison conceptuelle. Rien à voir avec un constat direct.

Comme le dit Dharmakirti, le roi des logiciens bouddhistes: Puisqu'il y a deux types de connaissables, il y a deux types de cognition valide.


chakyam
Là encore ! Qui dit le contraire ? Et çà prouve quoi ?


L'inférence est une cognition valide dans le sens où elle permet d'accéder à un phénomène non directement perceptible.
Si tu le nies, il va falloir que tu fasses un gros boulot d'édition en effaçant de tous tes posts les raisonnements logiques.


chakyam
Il y a une sorte de génie à répondre à des questions qui ne sont pas posées et évidemment à ne pas répondre à celles qui sont soulevées. Mon objection ne consiste pas à nier la perception d'un phénomène non-perceptible, simplement à faire remarquer que ce que tu présentes comme une évidence n'est en rien cohérent ni logique puisque l'omniscience ne peut pas être un résultat, une conséquence mais bien plutôt une condition « siné qua non » à priori de la Bouddhéité. La encore il y a confusion entre la nature des choses et leurs modalités d'apparition. Quant à la suite, inutile que je me répète.....

En tant que tel, ce raisonnement est déjà déconnecté du réel et même s'il s'appuie sur un constat direct de la nature conventionnelle de l'esprit, il est intrinsèquement « second »

Non pas intrinsèquement puisqu'une cognition valide inférentielle peut être première (c'est d'ailleurs le sens donné par les non-prasangikas à pramana).
Et même s'il était second, cela ne lui enlève en rien son statut valide.


chakyam
Ce statut de validité est conforme à ton raisonnement tenu plus haut. Pour le coup, c'est logique mais devant les tribunaux on dirait qu'il s'agit d'une preuve donnée à soi-même, donc pas valide
Qui plus est, l'Omniscience du Bouddha telle qu'elle est présentée ici, en un produit manufacturé alors qu'elle est une des marques, à priori, de sa Bouddhéité... tout comme les Paramitas dont nous parlions sur un autre fil.

ll est normal que quelqu'un qui croit être éveillé comme toi doute du fait qu'un Bouddha soit omniscient puisque du coup ça te retire tout statut d'éveillé. Bref, ta réaction était prévisible ô combien !

Démonstration ô combien éclairante de ta manière de raisonner. QUI a jamais prétendu que j'étais « éveillé » si ce n'est toi présentement ? À partir de cette affirmation de principe (ton affirmation) tu enclenches un raisonnement dont la cohérence superficielle pourrait induire le lecteur en erreur... sauf que je n'ai jamais soutenu telle affirmation. Je dirais même plus ; si tel était le cas, çà changerait quoi au fait que l'Omniscience du Bouddha est première et fondatrice et non seconde parce que notre nature commune est identique (je ne parle pas de toi, évidemment)

En outre, je doute que par sa nature conventionnelle, l'Esprit soit clair et naturellement cognitif, à moins de supposer que la Nature de Buddha soit sa Nature Profonde et Eternelle...
Comment arrives-tu à cette conclusion si ce n'est par inférence (fausse en plus) ?


chakyam
pas démontré ! et même si c'était le cas, où serait le problème ? Il ne faut simplement pas faire dire à l'inférence ce qu'elle ne dit pas.


De plus, tous ceux qui ont médité en prenant comme support leur propre esprit son arrivés au même constat depuis des siècles. Chakyam aurait-il un esprit différent ? Why not ?

chakyam
Peu importe ! Chakyam et Dharmadhatu n'ont pas d'esprit ; ils ont de l'Esprit qui s'exprime à travers eux. La seule différence c'est que l'un l'ignore alors que l'autre le sait.

FleurDeLotus Butterfly_tenryu
namgyal

Sourire a écrit :Je vais choper un mal de tête, moi...
fiouuuu! :shock: j'ai parcouru l'ensemble du fil... ouep!: comme le disait Schopenhauer: "En métaphysique rien n'est sur, sauf la migraine qui en est le prix"
pardonnez ma naïveté, mais à quoi sert cette rationalité sèche de la scolastique du bouddhisme indien? Même si de mon coté j'ai plaisir à lire Heidegger ou d'autres techniciens du jargon jargonisant à outrance... de deux choses l'une: soit je suis un peu crétin, soit je suis un peu trop pragmatique. Quand il s'agit de VOIR... juste VOIR, qui est peut-être le seul mot qui rend bien compte de toute la démarche cognitive bouddhique, voir qu'il n'y a pas du tout besoin d'un expérienceur, que c'est superfétatoire, qu'il y a unité ou non -dualité entre ce qui voit et ce qui est vu.. La conscience absolue ou autre mot plus approprié qui désigne cette réalité là, ni soi ni non-soi ni ni etc... quand l'absence totale de nécessité d'un observateur est VUE..l'observateur ne revient pas. C'est comme c'est... et, alors, plus besoin de nourrir une histoire, l'histoire de qui? Plus de biographie...J'ai beau y réfléchir dans tous les sens, je n'arrive pas à discerner l'intérêt pratique de la démarche logicienne poussée si loin. Mais surement que Chakyam ou une autre personne saura ouvrir les limites de cet esprit ..
Thank's
jap_8
namgyal

Lupka a écrit :
Dharmadhatu a écrit :
Plus sérieusement, toutes les religions ont le même but mais ne disent pas la même chose
J'suis pas d'accord ... les religions du livre ne disent pas " vous êtes dans un cercle perpetuel ou vous souffrez ... sortez en ! " mais plutôt " Dieu t'as crée mais t'as 80 ans devant toi pour faire le bien et toucher le jackpot - tu peux presque te la couler douce et réciter un je vous salue marie avant de clapser " Y'a pas cette notion de dukkha, de souffrance imprégnée ... on vise pas la libération dans le christianisme mais une récompense "sacrée": le paradis, une sorte de continuité de l'existence mais en mieux ::mr yellow:: Nous on cherche quoi ? à ne plus être ( oui je sais l'expression rapporte au nihilisme j'ai du mal à trouver les mots justes) ... fusionner avec le cosmos (ca fait new age c'est ca ? :mrgreen: ) ? Etre/ne pas être ? bref vous m'avez compris ... non ?



Tout ca pour dire que y'a quand même une sacré différence ... après le bouddhisme, le taoisme et l'hindouisme se rapprochent avec des vues et des méthodes quelques peu différentes mais je considère qu'entre Christianisme/Islam/Judaisme et Bouddhisme (& Cie) y'a un fossé infranchissable loveeeee

Sus aux sarazins !!!!!!!!!!! heu je veux dire au syncrétisme :oops:
Lupka,
je commente pas dans le détail, je devrais alors mettre en ligne un traité de métaphysique chrétienne, aussi quelques notions de mystique et de théologie pour dissiper ton ignorance... ce que tu dis à propos des religions du livre en général et du christianisme en particulier, voila bien le genre de propos qui fait passer le christianisme pour une maladie mentale... C'est de l'ignorance... pour faire de telles comparaisons il faut une base de connaissance , si tant est que ces comparaisons soient possibles, et il faudrait s'entendre sur quel terrain elles peuvent l'être. le christianisme, a une sotériologie de la souffrance qui n'est pas celle que tu donnes. il a même une théorie de la connaissance en tout point égale à celle du bouddhisme et de l'advaita-vedanta... à l'occasion je te donnerai les entrées thomistes qui l'établissent. ah... au fait, idem pour l'islam avec Molla Sadra au XVI e siècle, supposant que le judaïsme n'est pas en reste...
eveil_333
Lupka

Moui ... si tu le dis j'vais pas te contrarier loveeeee merci pour la proposition d'éclaircissement de mon ignorance concernant le christianisme et tutti quanti mais sans façon je me contente de mes vieux souvenirs de catéchisme le reste ne m'intéressant pas le moins du monde (et puis y'a Aldous pour ça si tant bien est qu'il revienne, nôtre missionnaire attitré ::mr yellow:: Aldouuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuus !) mais c'est gentil d'avoir proposé jap_8

Edit: shuuuut_8 on dérive complet du sujet

Tiens j'aime bien ce petit récit de l'Eveil du Bienheureux par Isi Dhamma:
Le trône de la victoire a écrit : Une fois qu’il termina son repas, le renonçant Gotama pénétra dans une forêt de shorea robusta (espèce de saule) située près de la rivière, dans laquelle il pratiqua ānāpāna tout l’après-midi. En cette fin de mercredi de pleine lune d’avril de l’an 103 de la Grande ère, le futur Bouddha alla s’installer sous un banian : l’arbre de la boddhi. Avant d’y arriver, il croisa Sotthiya, un coupeur d’herbe. Épris d’une profonde admiration, Sotthiya voulut lui offrir quelque chose. Comme il n’avait rien d’autre que l’herbe qu’il transportait sur son épaule, il lui en offrit huit gerbes. Parvenu devant l’arbre de la boddhi, le noble renonçant y étala les huit gerbes d’herbes sur le côté est de l’arbre. À ce moment précis, un grand trône, nommé Aparājita (le trône de la victoire), d’une envergure de 14 coudées (environ 7 mètres) se dressa de dessous terre, à 4 coudées de l’arbre, juste à l’endroit où l’ascète Gotama posait les gerbes.
Le futur Bouddha s’assit, jambes repliées, sur le trône Aparājita, dressé spécialement pour lui.
Remarque : Toutes les représentations de Bouddha (statues, peintures, etc.) le montrent assis en lotus. Cependant, dans les textes canoniques, il est nullement précisé de quelle manière il était assis. On sait seulement que ses jambes étaient pliées et devant lui.

Il prit à ce moment une détermination irréversible :
« Quoi qu’il advienne de ce corps, que la chair et le sang sèchent de sorte à ne laisser que les os, la peau et les tendons ; puissé-je ne pas me lever de cet endroit tant que je ne serai pas parvenu au stade de bouddha. »

Sur cette inébranlable promesse, il commença à pratiquer samatha, tant paisiblement qu’intensément, à l’aide du support ānāpāna. Le soleil n’était pas encore couché, lorsque Māra arriva accompagné de ses nombreux guerriers deva. Māra fit tout ce qui fut en son pouvoir pour empêcher le renonçant de poursuivre sa noble pratique. Il voulut tant s’accaparer le trône Aparājita qu’il cria au noble renonçant :
« Gotama ! Redonne-moi immédiatement mon trône ! »
Cependant, la raison principale de ses assauts visait à ne pas le laisser parvenir à l’éveil. Le nuisible Māra voulait avoir tous les êtres sous sa coupe et les voir souffrir perpétuellement. Si le renonçant Gotama parvenait à nibbāna, il deviendrait Bouddha, alors vainqueur du cycle sans fin des renaissances, et serait en mesure de conduire les êtres à s’en libérer définitivement.

Quand il parvint devant l’arbre de la boddhi, Māra se fit apparaître mille bras, à l’aide desquels il attaqua le noble renonçant à l’aide de flèches. Lui et ses subalternes s’affairèrent de tous leurs efforts pour saboter la concentration du futur Bouddha. L’ascète Gotama rayonna d’une si puissante mettā qu’au seul contact de ses ondes, les flèches se transformèrent immédiatement en superbes fleurs qui retombèrent en douceur sur le sol, tels des flocons de neige. Il prit ensuite la terre à témoin, affirmant :
« Cette terre sait que je me suis efforcé sans répit au développement des 10 pāramī durant 4 asaṅkhyeyya et cent mille kappa. »

Chaque boddhisatta (bouddha à venir) développe les 10 pāramī de manière incomparablement plus poussée et plus difficile que les arahant ordinaires. Elles exigent des qualités telles que seuls les boddhisatta sont capables de les développer (voir le chapitre « Les dix pāramī du boddhisatta »).
Les pāramī de l’ascète Gotama étaient parvenues à pleine maturité. De ce fait, rien ni personne ne fut en mesure de constituer pour lui le moindre obstacle à l’éveil – qu’il était sur le point d’accomplir. Dès qu’il eut prononcé les paroles de sa prise à témoin, la terre s’est mise à trembler, en guise d’approbation. Cela eut pour effet d’effrayer Māra et tous les autres deva de son armée. Le noble renonçant vainquit le grand deva maléfique avant le coucher du soleil. Il put ainsi poursuivre en toute tranquillité son entraînement à la concentration sur ānāpāna.
La réalisation des jhāna a écrit : En développant la concentration sur ānāpāna, le renonçant Gotama parvint rapidement au sammā samādhi ce qui l’épargna de rāga (l’attachement), dosa (la colère), thīna (la paresse), middha (la torpeur), uddhacca (le vagabondage du mental), et kukkucca (le doute). Ensuite, il expérimenta le premier jhāna. De là, il continua son absorption jusqu’à expérimenter le deuxième jhāna. Ensuite, il poursuivit toujours son absorption, jusqu’à ce qu’il expérimenta le troisième jhāna. Après cela, toujours absorbé dans un profond samatha, il parvint au quatrième jhāna. De là, il continua de développer sa concentration jusqu’à expérimenter le cinquième jhāna. Il venait alors de réaliser les cinq rūpa jhāna.

Il continua son absorption en se déterminant, cette fois, à expérimenter à nouveau le premier rūpa jhāna. Une fois qu’il y parvint, il poursuivit jusqu’au deuxième rūpa jhāna, et ainsi de suite, jusqu’au cinquième (et dernier) rūpa jhāna. En continuant son absorption, il arriva à expérimenter le premier arūpa jhāna. De là, il continua son absorption jusqu’à expérimenter le deuxième arūpa jhāna. Ensuite, il poursuivit sans cesse son développement de la concentration jusqu’au troisième arūpa jhāna, en continuant jusqu’au quatrième (et dernier) arūpa jhāna. Il avait alors réalisé les 8 samāpatti (absorptions).

À ce moment-là, à l’aide de déterminations, il a ré-expérimenté tous ces jhāna de nombreuses fois, dans l’ordre, dans l’ordre inverse, et dans le désordre, en de très diverses combinaisons ; comme en les franchissant par deux (en allant du premier, au troisième et au cinquième, ou du quatrième au deuxième, etc.) Après cela, il développa la première des abhiñña (pouvoir psychique). De là, il ré-expérimenta tous les jhāna et cette abhiñña de nombreuses fois en de très diverses combinaisons. Après, il développa l’abhiñña suivante. De là, il ré-expérimenta tous les jhāna et ces deux abhiñña de nombreuses fois en les combinant de façons très diverses. Après, il développa l’abhiñña suivante et fit de même, jusqu’à développer toutes les abhiñña.
La réalisation de l’éveil et de l’omniscience a écrit : Pendant la première partie de la nuit (depuis le coucher du soleil jusqu’à son lever, la nuit se divise en trois parties de durée égale), le noble renonçant développa pubbenivāsa ñāṇa. Pendant la seconde partie de la nuit, il développa dibbacakkhu ñāṇa. Pendant la troisième partie de la nuit, il poursuivit toujours ses absorptions. Peu avant l’aube, il décida de dormir un instant. Ensuite, il s’est encore absorbé dans les jhāna, jusqu’au quatrième. À ce moment-là, il connaissait parfaitement les jhāna ; il prit conscience que non seulement ces états ne duraient pas, mais qu’ils étaient encore des états, rien d’autre que des états. Cela ne pouvait donc absolument pas être la libération.
La maturité de ses pāramī fut telle qu’il eut spontanément l’idée, à cet instant, de prendre ce jhāna comme objet d’observation. Il développa ainsi pour la première fois vipassanā. Alors qu’il porta son attention sur ce jhāna, il développa āsavakkhaya ñāṇa par l’expérimentation des quatre magga phala ñāṇa qui le conduisirent successivement à paccavekkhaṇā et à sabbaññuta au moment précis de l’aube. Il devint par conséquent – et désormais – Bouddha.
Auparavant, il eut déjà expérimenté les connaissances de pubbenivāsa et de dibbacakkhu, en compagnie des ermites Āḷāra et Udaka. Néanmoins, il les eut développés, en ce temps, de façon radicalement moins profonde et moins étendue que cette nuit d’éveil total (par exemple, la connaissance permettant de voir ses existences passées, qui lui laissa entrevoir, autrefois, un nombre très limité d’existences passées, s’élargit, à son éveil, sur la totalité de ses existences). Durant la nuit qui venait de s’achever, Bouddha aura développé les six connaissances qui sont propres à chaque bouddha : dibbacakkhu ñāṇa, « l’œil des deva » la connaissance qui permet de tout voir ; iddhividha ñāṇa, la connaissance qui permet de tout créer et tout transformer ; dibbasota ñāṇa, la connaissance qui permet de tout entendre, à l’instar des deva ; cetopariya ñāṇa, la connaissance qui permet de connaître la pensée des autres ; pubbenivāsa ñāṇa, la connaissance qui permet de connaître les existences antérieures ; āsavakkhaya ñāṇa, la connaissance qui permet de mettre un terme aux kilesā par soi-même.

En parvenant à l’omniscience, comprenant qu’il venait de rompre les chaînes du saṃsarā, Bouddha déclara :
« Autrefois, j’ai longuement cherché la cause de taṇha ; comme je ne la trouvais pas, je tournais encore en rond dans le saṃsarā. Maintenant, j’ai trouvé la cause de taṇha, par la réalisation de l’arahant magga phala ; je ne tourne désormais plus en rond dans le saṃsarā. »
http://dhammadana.org/bouddha/eveil.htm
Sourire

Lupka a écrit :les religions du livre ne disent pas " vous êtes dans un cercle perpetuel ou vous souffrez ... sortez en ! " mais plutôt " Dieu t'as crée mais t'as 80 ans devant toi pour faire le bien et toucher le jackpot -
C'est un peu abrégé...
Les religions du Livre n'ont jamais dit que tout le monde devait mourir d'extrême vieillesse et seulement de ça et avoir par conséquent 80 ans pour faire (ou pas) le Bien (ou pas).
L'exemple vient de haut : Jésus est mort à 33 ans...
Lupka

On s'est pas compris (me suis surement mal exprimé) mais peu importe loveeeee

On dérive complet du sujet alors je fais amende honorable je m'en tiendrais la quant à ma vision du christianisme & Cie.
Devriez ouvrir un post ca en intéressera surement ... les nostalgiques du Père Aldous (priez pour son âme mes frères)

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Flocon
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:lol:

Le récit que tu as posté est très bien, c'est le récit "classique", je veux dire qu'il intègre les éléments les plus courants. On voit bien en tout cas qu'atteindre l'éveil, ce n'est pas rester assis à regarder les nuages. Quel boulot... :shock: :lol:
Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.

Kong Tseu
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