Bonjour,
dans ce qui suit, j'utilise le mot "coeur" ce qui est synonyme à "le mental", j'ai choisi la notion "coeur" car cela me semble plus chaleureux que la notion "mental", cela me semble plus humain et moins mécanique comme approche, rien de plus.
Florent a écrit :Sönam a écrit :Ou au moins 2 Tours ... néanmoins le raisonnement proposé ne demande pas tellement d'adhérer à tels ou tels écrits, mais simplement de constater l'étendue et l'engagement, en termes de bodhicitta, de l'une et l'autre des disciplines.
Pourtant le raisonnement proposé repose bien sur des conceptions issues des sutras du mahayana, (dire le contraire serait un peu spécieux), et qui sont pour le moins à mon avis de doux rêves (mais ça n'engage que moi), dans la mesure ou tous ceux qui s'engage dans la voie des bodhisattvas n'atteindrons jamais la bouddhéité, car
si tout le monde devaient rester dans le samsara afin de sauver tout le monde personne au final ne sera sauvé.En fait le bouddha historique à proposer une voie de sortie de ce samsara et non le maintien dans celui-ci, et c'est pourtant ce que propose le mahayana et le vajrayana rester dans le samsara et donc ne pas atteindre le nirvana si ce n'est dans très longtemps, voir jamais.
Si tout les êtres sont "sauvé", c'est que tout ceux qui reste sont des "bodhisattvas". S'il ne reste que des Bouddha parfaitement accompli, peut-on parler de "samsara" ?? S'il ne reste aucun être a "sauver" peut-on dire qu'il reste des "bodhisattva" ?? S'il reste plus aucune expérience "nuisible" comment pourront-ils cultiver la bodhicitta relative ??
En plus la culture de la bodhicitta ne me semble pas propre au Bouddhiste Mahayana ou au Vijrayana, car a l'époque du Bouddha ceux-ci n'existaient pas, je crois que ces un appel du coeur au-delà de toutes traditions confondu. Je crois que même si l'on est de la tradition du Théravada cette inspiration peut apparaître dans le coeur, contrairement qu'il est possible qu'un moine de la tradition du Mahayana ou du Vijrayana, malgré la culture, que le moine n'est pas cette inspiration profonde dans sont coeur. Je crois que la bodhicitta est au-delà de la tradition, mais bien quelque chose qui prend forme dans le coeur.
Il reste que vivre pour l'intérêt d'autrui en abandonnant sont propre profit égocentrique, est un état super vertueux et n'entraine pas des conséquances malheureuse, de vouloir maintenir cela, me semble extra. Si les Arya ou maître du Théravada n'étaient que centré par leur intérêts personnelle pourquoi auraient-ils enseigner ??