Bouddhisme et combativité (suite)

Tom

antodume a écrit :La seule façon d'échapper à cela est de pratiquer avec quelqu'un dont on est sûr, de par sa formation et la reconnaissance qu'il a eu de ses pairs et de ses pères, qu'il est vraiment de l'autre côté de la porte. Et jusqu'à ce qu'on passe la porte réellement, on se fera rabrouer, secouer.
J'aime bien tout cela.
Où et comment trouve t'on ces êtres dans notre monde de fou ?
En tous cas merci de ce texte.
Cordialement,
Thomas
antodume

Tom a écrit :Où et comment trouve t'on ces êtres dans notre monde de fou ?
C'est difficile, mais dans un Sangha reconnu, on a plus de chance d'en trouver que dans la nature... Certains te répondront d'être ton propre maître, mais l'ignorance est victime de sa propre incomplétude (elle ne trouve pas sa fin en elle-même, si tu préfères). Pour être son propre maître, il faut déjà commencer par se trouver et la meilleure façon de se trouver est de trouver son maître dans l'autre, comme si on se servait d'un miroir, en quelque sorte.
Tom

Merci d'avoir répondu Antodume.
En fait, je posais cette question inutilement et connaissant déjà la réponse. Comme si poser la questions 1000 fois pouvait répondre à la question.
La difficulté est de concilier la vie de famille avec enfants jeunes et femme et boulot et désirs multiples...
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