
Concepts et réalité
Le Bouddha, toujours plongé dans sa méditation, fit le mudra de l’absence de peur et un bruit cristallin traversa l’espace.
L’étranger nu modifia la structure moléculaire de son corps et sa peau devint d’un bleu profond. Les moines, interloqués, s’approchèrent de lui en silence... shuuuuuuuuuuuuttttt
L’étranger nu modifia la structure moléculaire de son corps et sa peau devint d’un bleu profond. Les moines, interloqués, s’approchèrent de lui en silence... shuuuuuuuuuuuuttttt
- michel_paix
- Messages : 1188
- Inscription : 09 novembre 2008, 21:58
Si j'aborde le sensorielle, c'est que vous êtes décaler, si je percevrais le derrière de ma propre tête je me questionnerais de la même façon que si j'observais de mes yeux. Si je volerais je questionnerais au coeur de cette expérience, les croyances a savoir si le Buddha a les bras qui traine a terre ou qui peut volé ou se transformer en fourmis pour sauver une fourmilière sont pour moi poésie et métaphore, que même si s'était vrai ce ne sont pas des compréhension juste telle que je l'entend, ce sont des "croyances" empli de foi aveuglé, des logiciens du livre, la raison valide d'une non-perception direct c'est comme apprendre a quelqu'un un savoir sans savoir si c'est vrai, c'est un maître de rien du tout, il ne maîtrise pas, il porte un habit c'est tout et compte des histoires au enfants, tel un curé qui parle des arc-en-ciel et de la promesse de Dieu, je suis pas contre ça, c'est beau "culturellement", mais sa va pas plus loin.
Je suis pas bouddhiste, le Buddha a enseigner la simplicité, la tradition la regorger de complication, un belle oeuf de pâque super bien décorer a l'extérieur et vide au dedans. Libre a vous, mais je vous invites a "observer" se que vous êtes et de développer une compréhension a partir de cela. Réfléchissez par vous mêmes, les arguments "se sont les paroles de mon maîtres" ne valent rien ou bien ces ce qui est écrit dans tel livre écrit de tel personne, un individu pragmatique est celui qui développe un compréhension a partir de sont expérience même. Bla bla bla
Sur cela le concept ne renvoie pas a l'objet si aucune subjectivité est.
<<metta>>
Je suis pas bouddhiste, le Buddha a enseigner la simplicité, la tradition la regorger de complication, un belle oeuf de pâque super bien décorer a l'extérieur et vide au dedans. Libre a vous, mais je vous invites a "observer" se que vous êtes et de développer une compréhension a partir de cela. Réfléchissez par vous mêmes, les arguments "se sont les paroles de mon maîtres" ne valent rien ou bien ces ce qui est écrit dans tel livre écrit de tel personne, un individu pragmatique est celui qui développe un compréhension a partir de sont expérience même. Bla bla bla
Sur cela le concept ne renvoie pas a l'objet si aucune subjectivité est.
<<metta>>
:)
Stupéfaits, les moines entendirent l'étranger à la peau bleue, déclarer :
"S'agit-t'il d'un démon ?" se demandèrent t'ils à propos de l'inconnu.
D'une manifestation de Mara ?
Qui était cet inconnu aux propos étranges... qui osait s'exprimer avec tant d'assurance en présence du Bouddha ?
Mais l'étranger avait disparu.
A l'instant même, dans la cour, des cris retentirent !
- Si j'aborde le sensorielle, c'est que vous êtes décaler, si je percevrais le derrière de ma propre tête je me questionnerais de la même façon que si j'observais de mes yeux. Si je volerais je questionnerais au coeur de cette expérience, les croyances a savoir si le Buddha a les bras qui traine a terre ou qui peut volé ou se transformer en fourmis pour sauver une fourmilière sont pour moi poésie et métaphore, que même si s'était vrai ce ne sont pas des compréhension juste telle que je l'entend, ce sont des "croyances" empli de foi aveuglé, des logiciens du livre, la raison valide d'une non-perception direct c'est comme apprendre a quelqu'un un savoir sans savoir si c'est vrai, c'est un maître de rien du tout, il ne maîtrise pas, il porte un habit c'est tout et compte des histoires au enfants, tel un curé qui parle des arc-en-ciel et de la promesse de Dieu, je suis pas contre ça, c'est beau "culturellement", mais sa va pas plus loin.
Je suis pas bouddhiste, le Buddha a enseigner la simplicité, la tradition la regorger de complication, un belle oeuf de pâque super bien décorer a l'extérieur et vide au dedans. Libre a vous, mais je vous invites a "observer" se que vous êtes et de développer une compréhension a partir de cela. Réfléchissez par vous mêmes, les arguments "se sont les paroles de mon maîtres" ne valent rien ou bien ces ce qui est écrit dans tel livre écrit de tel personne, un individu pragmatique est celui qui développe un compréhension a partir de sont expérience même. Bla bla bla
Sur cela le concept ne renvoie pas a l'objet si aucune subjectivité est.
<<metta>>
"S'agit-t'il d'un démon ?" se demandèrent t'ils à propos de l'inconnu.
D'une manifestation de Mara ?
Qui était cet inconnu aux propos étranges... qui osait s'exprimer avec tant d'assurance en présence du Bouddha ?
Mais l'étranger avait disparu.
A l'instant même, dans la cour, des cris retentirent !
L'étranger à la peau bleue cria : " schtroumfons-nous les uns les autres !"
Le moine feru de logique se demanda alors : "hein ? Mais keskidit ?"

Le moine feru de logique se demanda alors : "hein ? Mais keskidit ?"


- Dharmadhatu
- Messages : 3690
- Inscription : 02 juillet 2008, 18:07
shuuuuuuuuuuuuttttt Impossible qu'il ne sache pas ce qu'il dit parce que le moine féru de logique est schtroumpf à lunette qui a échangé ce collant ridicule contre un zen safran.
Safran et bleu, voilà que la pièce tout entière et l'univers devinrent tout verts. Pas verts de rage, vert espoir.

Safran et bleu, voilà que la pièce tout entière et l'univers devinrent tout verts. Pas verts de rage, vert espoir.

apratītya samutpanno dharmaḥ kaścin na vidyate /
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
yasmāt tasmād aśūnyo hi dharmaḥ kaścin na vidyate
Puisqu'il n'est rien qui ne soit dépendant,
Il n'est rien qui ne soit vide.
Ārya Nāgārjuna (Madhyamakaśhāstra; XXIV, 19).
Dommage Boudiiii... On aurait pu faire quelque chose de chouette avec cette histoire improvisée...


dans un monde sans espoir, le vert de rage est le recours ultime love3Dharmadhatu a écrit :Pas verts de rage, vert espoir.



Le Docteur Manhattan (car c'était lui, et il savait très bien ce qu'il disait) s'écria alors : " Faute d'empêcher l'avenir et de sauver la Terre, tentons la désintégration de la dernière chance et partons tous pour la planète rouge!" 

Quand on sonde les choses, les connaissances s'approfondissent.
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
Les connaissances s'approfondissant, les désirs se purifient.
Les désirs une fois purifiés, le cœur se rectifie.
Le cœur étant rectifié, on peut réformer sa personne.
Kong Tseu
- michel_paix
- Messages : 1188
- Inscription : 09 novembre 2008, 21:58
La réalité est un mot, un mot qui s'expérimente, comprendre la réalité c'est aussi comprendre ce que nous sommes, on comprendre vraiment la réalité quand on se connaît réellement soi-même. Les doctrines religieuses, les faits historiques, les sciences, les psychologies du monde et tout autre domaine intellectuelle sont de bon outil, mais a mon sens tant qu'on s'étudie pas soi-même on s'alourdi de toute ces connaissances secondaire, comme un âne bien charger sur la route.
La communication se résume par cette phrase que j'ai affichée chez moi:
"Entre ce que je pense, ce que je veux dire, ce que je crois dire, ce que je dis, ce que vous voulez entendre, ce que vous entendez, ce que vous croyez en comprendre, ce que vous voulez comprendre, et ce que vous comprenez, il y a au moins neuf possibilités de ne pas se comprendre."
La communication est très difficile parce que nous sommes remplis de préjugés, parce qu'on comprend de travers, parce qu'on a des difficultés à s'exprimer et parce qu'on a des difficultés à écouter. Reste un énorme travail à faire; nous sommes à l'aube de la communication.
C'est étrange parce que maintenant que nous avons des outils très répandus et très puissants on peut communiquer facilement mais on n'utilise pas ces moyens. Plus on a d'outils pour communiquer, moins on communique et plus la communication perd en richesse. Nous sommes à une époque où la communication va prendre énormément d'importance et où il faudrait avoir une réflexion: on communique quoi? Quelles idées?
Un classic, Bernard Werber - les fourmis.
<<metta>>
:)