Flocon a écrit :Si je retrouve le sutra auquel je pense, j'indiquerai sa référence. Le Bouddha ne me paraît pas, en tout cas, avoir voulu réserver la pratique du Dharma à ceux qui adhéraient intégralement à ses propres vues (l'accès à l'éveil, oui, mais c'est très différent). C'est d'ailleurs un des traits du bouddhisme qui l'ont rendu intéressant à mes yeux.

Concernant les souffrances humaines en particulier, le Bouddha dit: "La naissance est souffrance, etc...", or comment le Bouddha peut-il proposer à quelqu'un de ne pas/plus souffrir en naissant si cette personne n'a qu'une seule naissance ? Le temps que l'être qui est né ait la possibilité d'entendre et de pratiquer le Dharma, c'est trop tard, cet être aura déjà souffert de la naissance et le remède à cette souffrance n'a plus lieu d'être, sauf si cette personne pratique dès maintenant afin de ne plus avoir à souffrir de naissances à venir.
Chakyam a écrit :AUCUN ! L'intéret du Dharma est de nous délier de nos liens et non d'en rajouter !

Et puis même cet intérêt de délier est obsolète puisque la mort s'en chargera.
C'est l'hotel Dieu qui se fout de l'hôpital ! color_3 Tu es le premier à nous rebattre les oreilles avec tes "compliments" au lieu de daigner répondre à des questions précises. Si tu veux qu'on te trouve crédible comme interlocuteur, réponds aux questions et tu comprendras de quoi il s'agit quand on parle d'impermanence.Depuis des semaines, j'ai expliqué les raisons pour lesquelles les Renaissances me semble être une impossibilité ontologique (excuse le mot) car elles se heurtent, selon moi, aux phénomènes d'impermanence et d'anatta caractéristiques du bouddhisme.
Je n'ai reçu que vilipendes, quolibets, dessins débiles et autres imbécilités, le plus souvent avec tout de même quelques soutiens. Je suis néanmoins prêt à poursuivre la/les discussions avec toi en souhaitant que l'on évite les comparaisons agricoles qui, par nature me semble t-il ne peuvent expliquer un phénomène humain.
