Par contre peut être pourrait-on élargir cela à quelques pratiques, dans la mesure où cela n’en implique pas beaucoup.
J’ai entendu des enseignants différents dire que c’était à soi-même de décider de cette question (donc quoi pratiquer) et aussi éventuellement de s’en référer à un maître s’il avait une clairvoyance particulière sur cette question, mais la phrase était au conditionnel si ma mémoire est bonne, donc ce n’est pas certain.
Toutefois, les enseignants indiquent clairement quelles pratiques ils encouragent, ou bien quel type d’enseignements.
J’ai aussi entendu que tous les enseignements (toutes les pratiques) étaient interconnectés, donc d’éviter les prises de tête la dessus ; également que la pratique à choisir était celle que l’on pouvait pratiquer dans son quotidien intensivement.
On pourrait peut être placer ce terme d’intensif entre guillemets mais en fait non

En fait je crois que pour un laïc qui ne vit pas dans un monastère et qui ne parle pas le tibétain (pour des pratiques qui ne se font qu’en tibétain), il vaut mieux aller vers des enseignements adaptés que l’on pourra pratiquer dans sa langue et installer dans son quotidien, enfin c’est mon avis.
